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Carburant : au lieu de “faire la queue” S. Rousseau veut qu’on dise “faire la schnek”

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Alors que la France vit dans la peur d’une pénurie de carburant, une nouvelle polémique créée par Sandrine Rousseau fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Jointe par téléphone, la députée nous confiait qu’il était temps pour les femmes de « poser ses couilles sur la table, euh ses ovaires, d’ailleurs dans ovaire il y a vert, c’est bien la preuve que les hommes n’y connaissent rien en écologie ».

Sur la plateau de C news, Pascal Praud n’a pas tardé à s’en prendre à sa cible favorite : « Une écolo-féministe qui parle de carburant, mais arrêtez ! Arrêtez !” Puis il confiera en off à l’un de ses collaborateurs : “Elle est vraiment géniale cette Sandrine Rousseau ! Ça change des débats sur l’Islam ! »

Une féministe proche de la députée avoue être un peu gênée par cette nouvelle déclaration : « pour expliquer notre combat à ma fille de 8 ans, j’aurais préféré que Sandrine utilise un langage moins familier. Elle aurait pu dire faire la “zézette ou faire l’abricot” Un militant écologiste préfère parler de file d’attente afin de ne pas alimenter le débat.

Depuis l’émergence du mouvement #MeToo en 2017, ce type de polémique a fleuri dans des domaines très divers, un DJ témoigne : « cet été à un mariage, une féministe m’a agressé au moment de « à la queue leu leu » ! Elle s’est emparé de mon micro pour couvrir les paroles en chantant : « à la schnek nek nek » ! Maintenant je ne passe plus que « la chenille » même si je n’ suis pas à l’abri qu’un vegan me tombe dessus pour maltraitance animale ! Ça m’est déjà arrivé sur la danse des canards !!! »

Aux dernières nouvelles, Sandrine Rousseau aurait été aperçue dans les rues de Paris en train de coller des autocollants en forme de vagin sur les pare-brise des SUV, symboles honteux de la virilité exacerbée et du réchauffement climatique.
Yann Constancieux